Walking in the forest  pour 2 hautbois et marimba

Jean-Christophe ROSAZ : Walking in the forest  pour 2 hautbois et marimba. Delatour : DLT2209.

 

De difficulté moyenne, cette pièce est une commande du Conservatoire de Villejuif. Le caractère agreste tient bien entendu non seulement au style de l'œuvre mais aux timbres spécifiques des instruments utilisés. Joyeusement atonale, cette marche en forêt devrait faire de nombreux adeptes.

 

 

Rêves sélènes  pour violoncelle et contrebasse

Paul STERNE : Rêves sélènes  pour violoncelle et contrebasse. Delatour : DLT2496.

 

Trois rêves au clair de lune nous sont proposés : « Brumes », « Feux follets », « Cortège au clair de lune ». On sait combien il est difficile d'écrire pour les « basses » seules. L'auteur y réussit parfaitement,

Timothy HAYWARD : Quatuor à cordes n° 1.

Timothy HAYWARD : Quatuor à cordes n° 1.  Delatour : DLT 2165.

 

On s'accorde en général pour dire que l'écriture d'un quatuor à cordes est une entreprise à la fois exaltante et périlleuse, réservée à la maturité.

Antonin SERVIÈRE : Inconstances  pour hautbois (ou flûte) et clavecin. Delatour : DLT2335.

Même si l'œuvre revendique de s'inspirer des codes et de l'esprit de la musique baroque, la présence du clavecin ne doit pas faire illusion : il s'agit d'une œuvre tout à fait contemporaine, demandant un clavecin à deux claviers et faisant appel à toutes les techniques actuelles tant du clavecin que de la flûte ou du hautbois. Cette œuvre difficile n'en est pas moins fort intéressante.

 

Antonin SERVIÈRE : D'après « Dans la nuit ».  Quintette pour clarinette, violon, violoncelle, percussions et piano. Delatour : DLT2332.

Il s'agit d'une réécriture d'une pièce pour orchestre intitulée Dans la nuit. Voilà pourquoi l'auteur propose en sous-titre : « ou Dans la nuit d'après ? ». Le tout est inspiré du poème éponyme d'Henri Michaux. L'œuvre, très expressive, passe par des phases d'agitation suivies de moments méditatifs. L'ensemble est dense et comporte de nombreux changements de caractère et de sonorités.

Eric FISHER : L’île où les hommes implorent. Violon & Cello. Difficile. Dhalmann : FD0433.

Cette œuvre, publiée dans la collection « Carnets du 21ème siècle », fait appel à toute les techniques contemporaines pour exprimer une ambiance, créer des images, des atmosphères. Il faudra, bien sûr, une grande écoute et une grande connivence entre les interprètes pour rendre toutes les nuances de cette œuvre.

Pascal JUGY : Velours pour alto et guitare à 10 cordes. Moyen. Delatour : DLT1185.

Il s’agit de la même œuvre que celle, pour alto et piano, recensée à la rubrique Alto.

Jean-François PAULÉAT : Cuan Phort Láirge

pour flûte, clarinette en sib et piano. Difficulté moyenne. Delatour : DLT2217.

De forme rondeau, cette pièce porte en elle toute la mélancolie parfois éclairée par un pâle rayon de soleil, du port irlandais qu’elle évoque.

Antoine TISNÉ : Sous le regard d’une étoile

pour alto et violoncelle. Supérieur. Fortin-Armiane : EFA 062.

Cette pièce est composée de huit brèves séquences où les deux instruments ne dialoguent pas vraiment mais contribuent chacun au caractère lointain, mystérieux, étrange de l’atmosphère qui se dégage.

Christine MARTY-LEJON : Floréales pour quatuor à cordes

(2 violons, alto et violoncelle). Lemoine : 29145H.L.

Cette charmante pièce fera certainement le bonheur d’un quatuor débutant (le quatuor, pas les instrumentistes…)