Glenn KOTCHE : Cave Dance

(Snare Drum Solo with Foot Pedal Instrument). Moyenne difficulté. Alfred : 40961.

Antonin SERVIÈRES : Le jour où (ou) la nuit…

pour percussion et bande. Delatour : DLT2230 (sur le site : 2330).

Cette œuvre difficile mais très intéressante par son ambiance est issue d’un court métrage. On lira avec attention les indications de mise en œuvre de l’auteur. Bien sûr, la bande est aujourd’hui un CD fourni avec la partition.

Bernard ZIELINSKI, Arletta ELSAYARY : Ballada

pour caisse claire, cymbale et piano. Elémentaire. Lafitan : P.L. 2570.

« La technique facilite l’interprétation. Elle libère l’instrumentiste des contingences matérielles. Tel est le but de la technique, tel est son rôle. » C’est l’intérêt de cette pièce qui peut être jouée à trois niveaux de technique. Mais pas seulement : la très jolie partie de piano incitera le batteur à modeler sa sonorité sur celle de son partenaire et à mettre sa technique au service de la musique.

Wieslaw JANECZEK : Of course

pour batterie et piano. Elémentaire. Lafitan : P.L.2579.

Il n’est pas sûr que ce titre soit apprécié par celui qui ouvrira la partition. A lui de faire qu’elle devienne évidente… pour son plus grand plaisir, car cette pièce très rythmée est par ailleurs bien séduisante. L’effort du début sera vite récompensé par l’accession au résultat final.

Ludwig ALBERT : Double concerto

for two marimbas & orchestra : The Universe. Réduction pour piano. Difficile. Dhalmann : FD0405.

On ne serait assez conseiller d’aller écouter sur YouTube cette œuvre dans sa version avec orchestre. Le langage est à la fois classique par l’harmonie et moderne par le rythme. L’ensemble est vraiment très beau avec un deuxième mouvement particulièrement poétique. C’est une musique envoutante qui vaut vraiment d’être connue.

Bruno GINER : Samba Caisse.

Caisse-claire solo. Dhalmann : FD0398.

De niveau moyen à difficile, cette pièce réjouissante correspond bien à son titre. Il s’y trouve beaucoup de contrastes, de dynamique, qui devrait plaire aux jeunes interprètes.

CHIN CHENG Lin : Flyscape

Marimba duo.Niveau difficile. Dhalmann : FD0382.

Cette pièce nous met dans une ambiance feutrée, très tonale, très répétitive dans son début, qui culmine sur un large choral et s’achève sur une nappe sonore qui rappelle celle du début. C’est tout simplement beau.

 

Chin-Cheng LIN : Angel and Demon

Duo pour marimba et percussion. Difficile. Dhalmann : FD 0417.

On regrettera que la présentation de cette œuvre soit rédigée entièrement en anglais sans la moindre traduction. Deux parties dans cette œuvre : L’ange, d’abord, évoqué par un vaste choral, puis le démon, le « Satan » incantatoire, avec des rythmes brisés, hachés, des mesures à cinq temps, sept temps… Il y a beaucoup de vie et de musique dans cette œuvre intéressante.

André GUIGOU : Via ferrata

pour caisse claire et piano. Elémentaire. Lafitan : P.L.2591.

Le parcours de cette pièce est-il, selon la définition de l’auteur, « une activité intermédiaire entre randonnée et escalade » ? Toujours est-il qu’il est soigneusement balisé, évoquant avec bonheur les différentes étapes de l’aventure, étapes illustrées par la musique : le professeur pourra faire remarquer l’adéquation entre le dialogue des instruments et le parcours. Il s’agit donc d’une pièce pittoresque et peine d’intérêt.

Wieslaw JANECZEK : Color Calor

pour caisse claire et piano. Débutant. Lafitan : P.L.2577.

Ce titre un peu mystérieux recouvre une pièce qui, malgré le niveau débutant et grâce à la variété harmonique et rythmique de l’accompagnement révèle de nombreuses facettes. Nul doute que les deux interprètes n’y trouvent beaucoup de plaisir.