Max MÉREAUX : L’aube naissante. Pièce pour orgue. Moyen. Lafitan : P.L.3240.

Bien qu’écrite en principe pour un instrument à trois claviers et pédalier, cette pièce pourra assez facilement être interprétée sur deux claviers grâce aux combinaisons… L’oeuvre joue, comme il se doit, sur les contrastes entre les différents plans sonores de l’instrument. Un début doux sur la voix céleste et la gambe de 8. Puis viennent les fonds du positif avant que n’éclate pour finir le Grand Orgue avec le plein-jeu accouplé au positif : la lumière brille alors de toute sa splendeur. Outre son intérêt musical, qui est certain, cette oeuvre permet aussi une pédagogie de la registration, art qui fait si souvent défaut aux organistes…