Ces études sont, comme on pouvait s'y attendre avec l'auteur, d'abord de la musique. La première, « Au coin du feu », possède le caractère un peu nostalgique qu'on attend d'un tel titre, mais il s'agit bien quand même de jongler, sans en avoir l'air, avec les difficultés violonistiques, notamment dans les doubles cordes et le contrepoint. Quant à la deuxième, « Folle chevauchée en forêt », elle annonce bien la couleur et ne décevra pas les virtuoses en herbe.